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ZyraPortrait « Ce n'est qu'une simple fleur. »

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30-_Mysterious_Teaser_on_Garen's_Profile_Page

30- Mysterious Teaser on Garen's Profile Page

Jhin assemble son arme et orchestre son entrée dans la Faille. Il est méticuleux et calculateur, au point d'être le tireur le plus lent de League of Legends à ce jour. Mais si vous vous retrouvez dans sa ligne de mire, vos alliés ne pourront plus grand-chose pour vous.

Histoire[]

Khada Jhin, Virtuose[]

« L'Art requiert une touche de... cruauté. »

Jhin est un psychopathe méticuleux pour qui le meurtre est une forme d'art. Autrefois prisonnier de Ionia, mais libéré par des conspirateurs opérant au sein du conseil dirigeant du pays, ce tueur en série a désormais mis ses talents d'assassin au service de leur complot. Utilisant son pistolet comme un pinceau, Jhin crée des œuvres d'art empreintes de brutalité, aussi terrifiantes pour ses victimes que pour les témoins des ses crimes. Il tire un plaisir sadique de ses performances théâtrales, ce qui en fait un atout de poids quand il s'agit d'envoyer le plus puissant des messages : celui de la terreur. Pendant des années, les montages du sud de Ionia ont été rongées par les méfaits du sinistre « Démon doré ». Dans toute la province de Zhyun, un monstre massacrait des centaines de voyageurs et parfois même les habitants de tout un hameau de fermiers, laissant derrière lui un spectacle macabre de corps sans vie. Plusieurs milices armées organisèrent des battues en forêt, certains villages recrutèrent des chasseurs de démons et des maîtres Wuju prirent même l'habitude de patrouiller sur les routes, mais rien ne semblait pouvoir mettre un terme aux agissements sordides de la créature. En désespoir de cause, le Conseil de Zhyun envoya un représentant pour demander de l'aide au Grand Maître Kusho. En apprenant quel fléau semblait frapper la région, Kusho débita un faux prétexte et présenta ses excuses de ne pouvoir aider le conseil. Mais, une semaine plus tard, le maître, son fils Shen et son meilleur élève Zed se déguisèrent en marchands et se dirigèrent vers la province de Zhyun. Là, en secret, ils rendirent visite aux innombrables familles meurtries par les assassinats, examinèrent en détail les ignobles scènes de crime et tentèrent de faire émerger un schéma commun à tous ces meurtres. Leur enquête dura quatre longues années avant d'arriver à son terme, et les trois hommes en furent changés à jamais. La chevelure rousse et flamboyante de Kusho devint blanche ; Shen, pourtant connu pour son esprit et son sens de l'humour, devint sombre et renfermé ; et Zed, l'étoile qui brillait au firmament des disciples du temple de Kusho, se mit à rencontrer des difficultés dans ses études. En découvrant enfin le motif commun à tous ces meurtres, le Grand Maître aurait prononcé les paroles suivantes : « Le bien et le mal ne sont pas des vérités absolues. Ce sont des concepts nés de l'esprit humain, et chacun en perçoit des nuances différentes. » Narrée dans une large variété de pièces de théâtre et de poèmes épiques, la capture du « Démon doré » allait devenir le septième et ultime exploit de la carrière illustre du Seigneur Kusho. La veille du Festival du Lotus, dans le col de Jyom, Kusho se déguisa en calligraphe de renom pour se mêler aux autres artistes invités. Puis il attendit. Tout le monde supposait que seul un esprit maléfique pouvait être l'auteur de ces crimes horrifiants, mais Kusho avait compris que le meurtrier était un homme ordinaire. Le célèbre « Démon doré » n'était en fait qu'un simple machiniste travaillant au sein des théâtres itinérants et des opéras de Zhyun, sous le pseudonyme de Khada Jhin. Lorsqu'ils appréhendèrent Jhin, le jeune Zed s'avança pour tuer l'homme misérable qui se recroquevillait de peur sous leurs yeux, mais Kusho s'interposa. Malgré l'horreur des actions de Jhin, le maître légendaire décida que le tueur devrait être capturé vivant et incarcéré dans la prison de Tuula. Shen exprima son désaccord, mais accepta néanmoins la froide logique du jugement de son père. Zed, perturbé et hanté par les scènes de meurtres dont il avait été témoin, se révéla incapable de comprendre ou même d'accepter ce geste de miséricorde. Dès lors, on raconte qu'un profond ressentiment naquit dans son cœur. Malgré ses longues années d'emprisonnement à Tuula, les geôliers n'apprirent quasiment rien au sujet de l'homme poli et réservé qu'était Khada Jhin. Même son véritable nom demeure à ce jour un mystère. Mais au fil de son incarcération, les moines découvrirent en lui un élève très doué qui excellait dans de nombreux domaines, dont le travail du métal, la poésie et la danse. Pour autant, les gardes et les moines ne parvinrent jamais à le guérir de ses fascinations morbides. En dehors de la prison, Ionia était en proie au tumulte, car l'invasion de l'empire noxien venait de plonger le pays dans une période d'instabilité politique. Sous les assauts de la guerre, la soif de sang de cette nation jusque-là paisible finit par se réveiller. La paix et l'équilibre que Kusho avait lutté pour préserver tout au long de sa vie volèrent en éclats tandis que des individus corrompus s'emparèrent du pouvoir et que des alliances secrètes commencèrent à s'affronter dans l'ombre pour asseoir leur domination. Cherchant désespérément à renverser le pouvoir des ninjas et des épéistes Wuju, plusieurs membres du conseil dirigeant se lancèrent dans une cabale pour libérer Jhin en secret et faire de lui leur nouvelle arme de terreur. Désormais équipé des nouvelles armes de la forge de Kashuri et nanti de fonds pratiquement illimités, Khada Jhin a pu donner une nouvelle ampleur à ses « représentations ». Son travail a terrorisé de nombreux dignitaires étrangers ainsi que les sphères occultes de la politique ionienne, mais combien de temps encore un tueur en série tel que lui, qui a tellement besoin d'attention, sera-t-il satisfait de travailler dans les coulisses ?

Le fusil qu'il tenait dans sa main n'était qu'un simple outil, mais sa conception était d'une finesse sans égale. Les lettres d'or gravées dans le métal vert sombre épelaient le nom du forgeron, reflétant sa fierté de créateur et sa confiance. Cela n'avait rien à voir avec ce qu'on trouvait à Piltover. Leurs armes tapageuses essayaient de fonctionner avec les quantités infimes de magie qu'on trouvait dans ces terres. Celle-ci, en revanche, avait été créée par un maître forgeron. Son cœur de bronze, merveille de Ionia, regorgeait de magie. Il essuya la crosse du fusil une quatrième fois. Il ne pouvait jamais être sûr que son arme était parfaitement propre tant qu'il ne l'avait pas essuyée quatre fois. Même s'il ne s'en était pas servi. Et même s'il allait simplement la placer dans un sac sous son lit. Il ne pouvait pas la ranger avant d'être sûr qu'elle était parfaitement propre. Et il ne pouvait tout simplement pas en être sûr tant qu'il ne l'avait pas essuyée quatre fois. Elle allait être propre. Au bout de quatre fois, elle l'était toujours. Elle était propre et absolument merveilleuse. Ses nouveaux clients s'étaient montrés très généreux. Mais après tout, un artiste de son calibre ne méritait-il pas un pinceau d'exception ? La portée et la précision de ce nouveau dispositif rendaient totalement insignifiants ses travaux précédents, réalisés avec une épée. Il lui avait fallu des semaines d'études pour comprendre le mécanisme des armes à feu, et plusieurs mois pour adapter ses techniques de chi à l'épée. Le fusil pouvait contenir quatre balles. Chacune était imprégnée d'énergie magique. Chacune était aussi parfaite que la lame d'un moine de Lassilan. Chacune constituait la peinture avec laquelle il pourrait laisser libre cours à son art. Chacune était un chef-d'œuvre. Les balles ne se contentaient pas de trancher les corps. Elles les réarrangeaient. La répétition dans les ateliers industriels avait déjà démontré tout le potentiel de ce fusil. Et ses nouveaux employeurs avaient été très satisfaits de la réception de son travail. Il avait fini de la polir, mais comme il tenait l'arme dans sa main droite, la tentation était trop grande. Il savait que ce n'était pas raisonnable... mais il sortit sa combinaison noire en peau d'anguille. De sa main gauche, il caressa la surface glissante de la tenue. En sentant cette peau huilée sous ses doigts, son souffle s'accéléra. Il saisit le masque de cuir, puis - incapable de résister - il l'enfila sur son visage. Il couvrait son œil droit et sa bouche. Cela bloquait en partie sa respiration et le privait de sa perception de la profondeur. Délicieux. Il était en train d'enfiler sa spalière lorsque les clochettes qu'il avait dissimulées sous l'escalier menant à sa chambre se mirent à tinter. Il replia rapidement son arme et enleva son masque. « Il y a quelqu'un ? » demanda la femme de chambre à travers la porte. L'inflexion de sa voix indiquait qu'elle avait été élevée loin au sud de ce village. « Vous avez fait ce que je vous avais demandé ? » répondit Jhin. « Oui, monsieur. Une lanterne blanche tous les 4 mètres. Une lanterne rouge tous les 15 mètres. » « Alors, je peux commencer », fit Khada Jhin en ouvrant la porte de sa chambre. La femme écarquilla les yeux tandis qu'il quittait la chambre. Jhin savait parfaitement à quoi il ressemblait. En temps normal, cela excitait chez lui des accès de haine de soi, mais aujourd'hui... il était en représentation. Aujourd'hui, Khada Jhin s'était composé une allure fine et élégante et il se déplaçait avec une canne. Il était voûté et sa cape semblait couvrir une énorme difformité sur son épaule, mais cette première impression était démentie par sa démarche allègre. Il frappait le plancher de sa canne avant chaque pas alors qu'il se dirigeait vers la fenêtre. Il suivait un rythme précis : trois coups brefs, puis un quatrième. L'or de sa tenue étincelait, sa cape couleur crème ondulait et ses bijoux brillaient au soleil. « Que... Qu'est-ce que c'est que ça ? » demanda la femme de chambre en pointant du doigt l'épaule de Jhin. Celui-ci marqua une pause pour étudier un instant le visage poupon de son interlocutrice. Il était rond et parfaitement symétrique. Des traits incroyablement ternes et prévisibles. Un matériau beaucoup trop laid et grossier pour créer un masque. « C'est pour le crescendo, très chère », répondit Khada Jhin. Depuis la fenêtre de l'auberge, il pouvait clairement voir le reste du village dans la vallée, en contrebas. Cette représentation allait devoir être spectaculaire, mais il y avait encore tant à faire... Le conseiller serait de retour dans la soirée. Et jusqu'ici, tous les plans de Jhin pour cet événement lui semblaient... peu inspirés. « J'ai apporté des fleurs pour votre chambre », dit la femme en passant près de lui. Il aurait pu utiliser quelqu'un d'autre pour placer les lanternes. Mais il ne l'avait pas fait. Il aurait pu changer de vêtements avant d'ouvrir sa porte. Mais il ne l'avait pas fait. À présent, elle avait vu Khada Jhin dans ses plus beaux atours. L'inspiration qu'il avait tant attendue lui sembla soudain si évidente. C'était le destin. Il n'y avait jamais eu de choix à faire. Il ne pouvait pas échapper à l'appel de l'Art. Le visage de cette femme de chambre. Il allait devoir le rendre plus... intéressant.


Dans son assiette pleine de bouillon, la tranche de porc laqué brillait à la lumière. Le doux fumet hypnotisait Shen, mais il reposa sa cuillère. Alors que la serveuse s'éloignait, elle lui décocha un sourire et hocha la tête en signe d'approbation. Il fallait laisser à la graisse le temps de fondre pour se mélanger au brouet. Nul doute que la soupe était déjà excellente, mais d'ici quelques instants, elle deviendrait absolument succulente. Patience. Shen étudia l'intérieur de l'Auberge de la Falaise Blanche. La pièce présentait un aspect trompeusement simple et grossier. Les maîtres charpentiers avaient réalisé là un travail d'orfèvre, en construisant autour de l'arbre et en retirant l'écorce et les feuilles uniquement quand c'était nécessaire. Soudain, la flamme de la bougie sur sa table se mit à trembloter... d'une étrange façon. Shen glissa loin de la table et sortit ses lames de sous sa cape. « Tes élèves sont aussi silencieux qu'une femelle worax en train de mettre bas », dit-il. Seul et habillé comme un marchand, Zed entra dans l'auberge. Effleurant la serveuse sur son passage, il s'assit à trois tables de Shen. Chaque fibre de son corps lui intimait l'ordre de se jeter sur son adversaire. De venger son père. Mais ce n'était pas la voie du crépuscule. Il se força à reprendre son calme lorsqu'il se rendit compte que la distance était trop grande... mais seulement à un doigt près. Shen fixa Zed, s'attendant à le voir sourire. Son rival, cependant, se contenta d'un soupir. Son teint était cireux et son regard était alourdi par deux poches sombres sous ses yeux. « J'ai attendu pendant cinq ans », dit Shen. « Aurais-je mal calculé la distance ? » demanda Zed d'une voix épuisée. « Même si ma tête est coupée, j'aurai toujours le temps de frapper », fit Shen en glissant son pied vers l'arrière et en le pressant contre le sol. Zed se trouvait à dix pas et un demi-doigt de distance. « Ton chemin est plus proche du mien que tu ne le penses. Les idéaux de ton père étaient faibles. Ionia ne pouvait plus se permettre de les suivre », affirma Zed. Il se cala au fond de son siège, reculant juste assez pour être hors de portée de Shen et éviter un coup fatal. « Je sais que je ne parviendrai pas à t'en convaincre. Mais je vais t'accorder une chance d'obtenir ta vengeance. » « Je ne suis pas motivé par la vengeance. Tes actions mettent l'équilibre en péril. Pour cela, tu es déjà condamné », fit Shen en s'avançant d'un pouce sur sa chaise. « Le Démon doré s'est échappé », répondit Zed. « Impossible. » Mais alors qu'il prononçait ce mot, Shen s'aperçut que son cœur se serrait dans sa poitrine. « La plus grande victoire de ton père. Et voilà que sa clémence ternit de nouveau son héritage. » Zed secoua la tête. « Tu sais ce dont est capable cette... créature. » Il se pencha alors au-dessus de la table, cette fois-ci clairement à portée de Shen, exposant volontairement son cou. « Et tu sais que nous sommes les deux seuls êtres à avoir une chance de l'arrêter », conclut Zed. Shen se souvint de la première fois qu'il avait vu le cadavre d'une des victimes de l'infâme Khada Jhin. Sa peau se hérissa à l'évocation de ce souvenir, et il serra la mâchoire. Seul son père s'était montré assez fort pour croire encore que seule une justice magnanime méritait d'être appliquée. Ce jour-là, quelque chose avait changé pour Shen. Et quelque chose en Zed s'était brisé. Aujourd'hui, le monstre était de retour. Shen posa ses deux lames sur la table. Il tourna son regard vers le succulent bol de soupe qui se trouvait devant lui. Plusieurs gouttelettes de graisse luisaient maintenant à la surface du brouet... mais il n'avait plus faim.


Toujours aucun signe de Zed. C'était décevant. Très décevant. Nul doute qu'il était allé trouver son ancien ami. Zed était probablement caché, à l'observer. Jhin allait devoir être prudent. Depuis la jetée, il porta de nouveau son regard sur le vaisseau étranger. La marée était là et le navire allait partir d'ici quelques instants. Il lui faudrait revenir vite s'il comptait se produire à Zaun le mois suivant. Des risques, encore des risques... Il s'arrêta pour observer son reflet dans une flaque. Sur la surface de l'eau, il vit un vieux marchand à l'air inquiet. Ses nombreuses années d'expérience en tant qu'acteur, alliées à son entraînement militaire, lui avaient permis d'acquérir un contrôle total sur ses muscles faciaux. Un visage très commun, auquel il avait donné une expression tout à fait banale. Lorsqu'il gravit la colline, Jhin n'eut aucun mal à se fondre dans la foule. Il compta le nombre de lanternes blanches devant lui, calculant la distance. Si Zed faisait son apparition, il allait avoir besoin d'elles. Une fois arrivé à l'auberge, au sommet de la colline, il jeta un œil aux pots dans lesquels il avait dissimulé des pièges. Des lames d'acier acérées en forme de fleurs. Ils étaient là pour couvrir sa retraite si quelque chose ne se passait pas comme prévu. Il songea à la façon dont le métal trancherait les badauds, aspergeant les murs turquoise de l'immeuble, fraîchement repeints, d'un bel incarnat. C'était tentant. Il se frayait un chemin à travers la foule quand il entendit l'aîné du village s'adresser à Shen. « Pourquoi le Démon s'en prendrait-il à elle et aux conseillers ? » demanda le vieil homme. Shen, qui portait ses vêtements bleus habituels, ne répondit pas. Une autre kinkou, une jeune femme nommée Akali, se tenait près de lui. Elle s'avança vers la porte d'entrée de l'auberge. « Non », fit Shen en la retenant. « Qu'est-ce qui te fait croire que je ne suis pas prête ? » demanda Akali, d'un ton contrarié. « Je ne l'étais pas quand j'avais ton âge. » À ce moment, l'un des gardes du village sortit de l'auberge en titubant, le visage pâle et les traits tirés. « Sa chair... elle était... elle était... » balbutia-t-il. Il fit quelques pas, puis s'effondra sur le sol, évanoui à cause du choc. « Il l'a vue. Il a vu la fleur ! » Adossé contre le mur du bâtiment, le tavernier se mit à rire nerveusement. Puis il fondit en larmes, le visage déformé par la folie. Ces gens n'oublieraient pas de sitôt le travail artistique de Khada Jhin. Shen scrutait le visage des badauds. Petit malin, pensa Jhin, avant de disparaître à l'arrière de la foule. Alors qu'il retournait vers le navire, il observa les toits, guettant le moindre signe de Zed. Il était impossible de manquer son œuvre. Ensemble ou séparément, Zed et Shen allaient suivre les indices qu'il avait laissés derrière lui. La piste les mènerait inévitablement au Festival du Lotus. Tout droit dans le Col de Jyom. Et quand ils commenceraient à désespérer, ils n'auraient d'autre choix que de travailler ensemble à nouveau. Ce serait comme au bon vieux temps de leur jeunesse. Ils seraient réunis par la fascination et la peur. Alors seulement... le grand Khada Jhin se révélerait à eux. Et son plus fabuleux chef-d'oeuvre pourrait enfin prendre corps.

Dialogues[]

« Devient un poème »

« Je chanterais ... ta mémoire »

« Voyez mes marionnettes danser »

« Ton personnage... meurt au deuxième acte »

« Ta vie n'avait pas de valeur avant moi »

« Je me sens... inspiré »

« L'art... mérite que l'on souffre »

« La beauté est dans la douleur »

« Par moi tu deviendras célèbre »

« Apprends ton texte ! »

« C'est ainsi que j'exprime mon amour »

« Chaque balle est un couplet »

« Chaque balle est un pas de deux »

« Comment, renouveler, ce thème »

« Magnifique ! »

« Souriez vous tous ! souriez !»

« Tout le monde en place ! »

« Merveilleux ! »

« Impeccable ! »

« Splendide ! »

« Il manque quelque chose, à cette composition »

« Sublime ! »

« Transcendant ! »

« Divin ! »

« Élégant ! »

« Précieux ! »

« La symétrie est d'un ennui »

« Je me suis surpassé »

« Quand ils te verront.. ils pleureront »

« Je vais toucher ton cœur »

« L'exaltation les prendra ! Juste avant la mort »

« C'est à moi d'entrer en scène »

« Chacun se rappelle ses répliques ?! »

« Tu veux cette valse ?! »

« Chante pour moi »

« J'ai répété tout cela »

« La mort paisible n'offre aucun ressort dramatique ! »

« Danse sous mon regard »

« Da capo ! »

« Quelle inspiration »

« Cette œuvre n'a pas de fin ! »

« Aaaaah combien c'est raffiné ! »

« Acclamez l'artiste ! »

« Une interprétation à ne pas manquer »

Lors de l'achat d'équipements :

« Visiblement dessiné par un stagiaire... »

« L'or est la couleur du pouvoir »

« Je préfère les équipements plus sonores »

« Parfois... le silence est expressif »

« Jouez quelques notes... et laisser moi les faire danser»

« Le rouge est une couleur primaire »

« J'ai soif de mélodrame »

« L'ouragan est dans leur cœur, mais... je vais les apaiser »

« Minimaliste, parfois ! Statique, jamais ! »

« Ce qui est statique peut-être artistique »

« Ultra rapide ? *humpf* où serait l'élégance ? »

« J'aime les étoiles, les voiles, que des choses pas commerciales »

« J'exécute, mais... sur un rythme de toccata »

« Nous portons tous des masques, mais certains sont artistiques »

« Le cimeterre conduit au cimetière »

« Ce masque est une métaphore, un symbole »

« Des chaussures ioniennes, pas très originales... »

« Spectrales vous dites ? c'est pas faux »

En lancement de partie :

« La représentation commence ! »

« Le rideau est levé »

« Il faudra que je me contente de ce décor »

« La scène est indigne de moi, mais je vais lui conférer de la grandeur »

« Ecoutez l'aria de l'agonie »

« Que le premier acte commence »

« Tu manques d'imagination, j'ai une tragédie à te faire jouer »

« Ta mort couronnera mon œuvre »

« Mon génie n'a que faire de ta médiocrité »

« On se souviendra de toi, seulement si je te tue »

« Prend garde c'est l'essaim de Jhin qui passe »

« J'ai une éthique de travail »

« Il n'ai pas d'art sans acte de cruauté »

« En toute choses c'est la fin qui compte »

« Mon public est impatient »

« Je dois attendre que la composition soit parfaite »

« Ce sont des marionnettes qui dansent lorsque j'en tire les ficelles »

« Un jour mon génie sera reconnu »

« L'art préexiste à la raison »

« On me dit fou, mais quel artiste ne l'est pas ? »

« Cette laideur m'est insupportable »

« Je ne veux pas être bon, je veux être parfait »

« Il faut que chaque élément trouve sa juste place »

« On se méprend sur moi, la beauté ne peut être maléfique »

« Cette exécution manque de rubato »

« L'inspiration se fait attendre dans de telles conditions »

« Mon talent justifie mes actions »

« J'ai besoin d'un public pour donner le meilleur de moi-même »

« Mon travail est éclatant de pureté »

« Ma scène est l'esprit »

« L'art doit terrifier »

« Les stances des poètes ne peuvent décrire ma splendeur »

« La mort doit durer autant qu'un acte d'opéra »

« Ce déplacement est une chorégraphie »

« Tuer est une douleur exquise »

« Le monde est cruel, il n'a pas besoin en plus d'être laid »

« Tout le monde porte un masque, mais je préfère créer le mien »

« Mon art me possède, je ne puis lui résister »

« La perfection n'est qu'une étape »

« Tout masque cache, un autre masque »

« Tout mon être ne respire que pour cela »

« Je ne blesse personne, c'est la représentation qui tue »

« Je continuerai jusqu’à ce que l'on m'arrête »

« Je suis le chanteur mutique, le danseur immobile »

« Je ne montre mon vrai visage qu'a mon public »

« J'arrache chacune de mes balles, à mon âme »

« A chaque représentation je fais mes adieu à la scène, c'est chaque fois un mensonge... »

« Je suis l'esclave de cette passion »

« Mon art est une question sans réponse »

« Où est le mensonge ? Dans mon visage ? Ou dans mon masque ? »

« Chaque Homme dans sa nuit marche vers moi »

« Quelle image peuvent ils avoir de moi ? »

« Oui, mon arme est un trait d'ironie »

« J'aime les couleurs vives »

« Mes compositions sont monochrome, Le sang est toujours rouge »

« Frappons les 3 coups ! »

« Mes premières sont pour vous, des dernières... »

« Voici venu le temps des rires et du sang »

« Comment finir son travail quand on est sans cesse interrompu ? »

« Toutes blessent, la dernière tue »

« Je ne propose que la perfection »

« Ils danseront, ils chanteront, ils mourront »

« Il n'est de meilleur encre que le sang »

« On se pâme devant mon chant; et puis l'on meurt »

« Je ne supporte pas les mauvaises critiques »

« Je ne tolère aucun accroc à mes vêtements »

« Mes clients sont des esthètes »

« La mort est inéluctable, mais on peut en faire un poème »

« J'instrumente la catharsis de mes clients et de mes victimes »

« J'orchestre la mort ! »

« Je suis nerveux avant chaque représentation, mais j'ai besoin de cette sensation »

« Le dernier soupir n'est pas douloureux, la seconde d'avant si... »

« Je ne me sens vivant que s'ils meurent »

« hummm l'extase du coup de grâce »

« La queue de détente est la plume avec laquelle je compose »

« Le contact avec le public est ce qui me permets de continuer »

« La caresse et la mitraille, cette plaie qui nous tiraille »

« Je veux tout expérimenter, mon arme m'y aide »

« J'envie le silence... je suis condamné au bruit »

« Je fleuris dans le carnage, comme une corolle à l'aube »

« Je suis l'odeur de la mort, devenu essence du lotus parfumé »

« Douce angoisse du trac avant le début de la représentation »

« Voila ce que j'ai envie de voir »

« L'art naîtra de ta peur »

« La vie n'a pas de signification, ta mort... si »

« Pour que vive mon art, tu dois mourir »

« Tu es un figurant ! »

« Tu as éveillé quelque chose d'intense au fond de moi »

« Saigne pour enchanter le public »

« Le visage de ton meurtrier porte mon sourire »

« Avec une technique comme la mienne, tuer devient un art »

« Tu m'inspires, je vais t'enseigner la vraie beauté »

« Mon œuvre va te transcender »

« Souuuuuris, tout le monde regarde »

« Mon souffle donne forme à la beauté »

« Le bonheur jaillit de la mort que je donne »

« L'art va surgir »

« L'action est d'inspiration »

« Un, deux, trois, quatre, deux, deux, trois, quatre »

« Cette passion m’intéresse »

« Il y a trois type d'artiste, les bon, les mauvais et Bard !! »

« En garde, que je L'HalleBard »

« Tu hurle en lançant des machettes, provincial, tu es à peine digne d'animer des goûters d'anniversaires »

« Ton travail est si... petit bourgeois »

« "Pour Demacia !" Tu appelles ça une réplique ?»

« Des fous de dieu tu n'a que la folie »

« Ton dieu ne m’intéresse pas, mais ton sang pourrait colorer une de mes toiles »

« Je te laisserais prendre mon âme, si tu cesse de bavasser »

« On ne trouvera pas de rime riche à Nagakabouros »

« Ça, une réplique ? »

« Un accessoire de théâtre de boulevard »

« Tu ne connais que l’harmonie »

« Il n'y a pas de résolution sans dissonance »

« Helaaaaas tu prouve le retard culturel de notre nation »

« Je suis l'avant-garde »

« Tu as séché sur pied »

« L'invasion noxienne était un avertissement »

« Ils nous faut des production plus élaboré »

« Je fais ce que nul autre ne fait »

« En soit c'est déjà de l’innovation »

« Tant de puissance de feu et si... peu de poésie »

« Prête pour le duo final ? »

« Une vengeance, des armes et des fantômes. Ton histoire est d'un convenu...»

« On m'a commandé tant de consternantes banalités à Noxus... »

« Les noxiens ne sont que des ploucs bruyants »

« Noxus considère que tuer est un sport. Non. C'est un art »

« Ta nation manque de sophistication »

« Votre guerre ne manquait pas d'effets spéciaux...mais où est l'intrigue ? »

« Je vois, minimalisme et primitivisme. Mais ta technique laisse à désirer »

« Je me..souviens de ton père. Il n'a pas pu censurer mes œuvres »

« Je prépare ta dernière interprétation...depuis...longtemps... »

« Tu as tenté de me faire taire, mais on ne peut mettre de terme à mon art »

« Ton père connaissait la pitié. On ne se souviendra que de son échec »

« La mort de ton père a annulé ma représentation. Tu seras son remplaçant »

« Une musique sans âme et sans grandeur »

« Tes propos sont d'une inélégance...Quel idiot a pu écrire ton script ? »

Promotion & Teaser[]

Les champions suivants ont été "rendus magnifiques" durant une série de promotion, mettant à jour leur page de profil respective, incluant un gif pour chacun :

Jhin teaserGaren Jhin teaserSona Jhin teaserVi Jhin teaserZed

Avec la mise à jour des profils, de mystérieuses vidéos ont été dévoilées, présentant les quatre champions, sûrement touchés par Jhin.

Jhin teaserArtworks

26-_Mysterious_Teaser_on_Zed's_Profile_Page

26- Mysterious Teaser on Zed's Profile Page

Zed Trailer - 26 Décembre 2015

28-_Mysterious_Teaser_on_Sona's_Profile_Page

28- Mysterious Teaser on Sona's Profile Page

Sona Trailer - 28 Décembre 2015

30-_Mysterious_Teaser_on_Garen's_Profile_Page

30- Mysterious Teaser on Garen's Profile Page

Garen Trailer - 30 Décembre 2015

1-_Mysterious_Teaser_on_Vi's_Profile_Page

1- Mysterious Teaser on Vi's Profile Page

Vi Trailer - 1er Janvier 2016

Développement[]

PROUT CACA

Laning[]

Jhin est un tireur d'un genre différent. La plupart de ses homologues grignotent les PV de l'adversaire avec un barrage d'attaques constant, mais Jhin est extrêmement méticuleux et sélectionne avec soin ses fenêtres de tir. Sur sa voie, il doit conserver ses précieuses balles pour achever les sbires, bien tenir compte du nombre de balles qu'il lui reste et guetter les occasions de loger sa quatrième balle (la plus mortelle) dans le corps de son adversaire direct. La portée d'attaque de base de Jhin est, au mieux, moyenne, ce qui le rend assez facile à harceler. C'est là que l'Inspiration de génie entre en jeu : le Virtuose peut faire rebondir sa bombe pour achever les sbires sans trop de risques, et même harceler efficacement les adversaires qui collent un peu trop à leurs vagues de sbires.

Cependant, avec sa faible vitesse d'attaque, Jhin sera souvent repoussé sous sa tourelle, où il n'aura pas d'autre choix que de tirer ses balles sur les sbires au lieu de harceler. Mais attention : si Jhin prévoit tout admirablement, s'il pose quelques pièges de Public captif tandis qu'il recule, il peut se retrouver en situation idéale pour faire intervenir son jungler et resserrer la corde autour du cou de ses malheureuses victimes. Lorsque le gank démarre, Jhin et ses alliés ont tout intérêt à initier l'attaque et à attirer les cibles du côté des pièges. Quand ceux-ci se déclenchent, Jhin peut enchaîner immédiatement avec Préfiguration, blessant l'ennemi et l'immobilisant dans la zone de ralentissement du piège jusqu'à la fin du compte à rebours. L'explosion, inévitable pour cet ennemi, l'affaiblira encore plus, ce qui prépare adéquatement le terrain pour la quatrième et dernière balle de Jhin. Dans tous les cas, il va y avoir un cadavre.

Les pièges étant ce qu'ils sont, ils permettent également de couvrir Jhin quand il décide d'être plus agressif. Ces opportunités sont certes rares, mais un coup critique providentiel contre un ennemi affaibli ne donne pas seulement à l'as du fusil une chance de tuer sa cible : il lui donne également la possibilité d'enchaîner. C'est là que Jhin excelle, quand il peut lancer Préfiguration sur les ennemis marqués pour les immobiliser et mieux les abattre avec des attaques de base. S'aventurer trop loin sur la voie attire en général le jungler ennemi, évidemment, mais si le Virtuose parvient à placer son quatrième et dernier tir, le coup critique garanti (et donc le bonus de vitesse garanti) devrait l'aider à se replier pendant que son agresseur patauge dans les pièges.

" Un coup critique providentiel contre un ennemi affaibli ne donne pas seulement à l'as du fusil une chance de tuer sa cible : il lui donne également la possibilité d'enchaîner. "

Escarmouches[]

Dès lors qu'il est bien en place, Jhin est efficace pour contrôler les objectifs, grâce notamment à ses pièges. En posant des pièges de Public captif sur la route de l'ennemi en direction du dragon, Jhin peut avertir son équipe de l'arrivée imminente d'une menace, sans oublier qu'il est alors capable d'immobiliser le jungler ennemi marqué avec Préfiguration. Si la menace continue d'avancer, Jhin peut toujours lancer Inspiration de génie pour blesser les ennemis groupés avant de sélectionner attentivement les cibles de ses attaques de base. Malgré tout, le Virtuose n'est pas le mieux équipé pour prendre les objectifs (sa faible vitesse d'attaque, à elle seule, l'en empêche), mais il facilite grandement le travail de son équipe autour des objectifs quand il planifie le combat dans la zone.

Et puis il y a l'ultime de Jhin. Rappel de rideau offre à Jhin et à son équipe un avantage de taille autour des objectifs lorsque le Virtuose a le temps de préparer son nid de sniper. Cette compétence a une portée énorme, mais l'angle est limité, c'est pourquoi Jhin doit prendre certaines choses en considération avant d'épauler son fusil. S'il s'installe trop près des ennemis, il fera une cible facile pour les assassins ; trop loin, il sera inutile après avoir utilisé sa compétence ; mal placé, il risque de perdre le combat de vue. En revanche, positionnez-vous convenablement et Jhin fera un carnage et n'aura plus qu'à approcher pour finir le travail.

"Jhin facilite grandement le travail de son équipe autour des objectifs quand il planifie le combat dans la zone."

Combats d'équipes[]

Durant les combats d'équipes, Jhin a deux stratégies viables à sa disposition : apparaître au début du combat ou à la fin. S'il choisit de rester avec ses équipiers, il adopte la position traditionnelle des tireurs en seconde ligne ; il pose des pièges pour protéger ses alliés les plus fragiles et lance Préfiguration sur les cibles marquées. Inspiration de génie vient ensuite s'assurer que le carnage se déroule comme prévu, et quand l'équipe ennemie se met à fuir, Jhin est parfaitement positionné pour assembler complètement Murmure et abattre les derniers survivants avec Rappel de rideau.

L'autre stratégie consiste donc à préparer la scène du combat beaucoup plus tôt, en utilisant l'ultime d'entrée de jeu. Cela fait de lui un personnage insolite lors des combats d'équipes, car il restera hors de vue. Du moins, au début. Les ennemis seront sans doute ravis de se retrouver en supériorité numérique, mais ils réaliseront bien vite que l'absence du Virtuose est délibérée. La présence de Jhin ne se ressent peut-être pas, mais ses balles, elles, se font sentir. Rappel de rideau inflige moins de dégâts aux ennemis qui ont encore beaucoup de PV, mais le ralentissement de cette compétence gênera la première ligne adverse et empêchera les ennemis vulnérables d'esquiver les dégâts des équipiers de Jhin. Plus important encore, Rappel de rideau obligera les ennemis à se cacher derrière leurs alliés tanky ou à chercher d'autres abris de fortune. Une fois son ultime utilisé, Jhin reste capable de contribuer au combat ; il peut verrouiller les cibles marquées avec Préfiguration de façon à ce que ses alliés puissent faire le ménage et s'emparer de la victoire.

"Rappel de rideau obligera les ennemis à se cacher derrière leurs alliés tanky ou à chercher d'autres abris de fortune."

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